Des pages à tourner

Il y a des livres comme ça, qui marquent. Qui marquent terriblement. Ils nous emportent avec eux, dans une vague déferlante et après ça ... Après ça impossible de les lâcher. On les dévore, à une vitese hallicinante, mais lorsqu'on l'a fini on en vient à regretter de ne pas avoir su lire moins vite.

Ils déclenchent le rire et les larmes, et on s'attache aux personnages, ou alors on les hait, tout bêtement. Il y a des personnages auxquels on ne s'attache pas, car c'est tout bonnement impossible, et pourtant impossible de lâcher ce fichu bouquin, la faute au sytyle de l'autreur, tellement pointu, qui noçus tient en haleine malgré tout.

Il y a des livres qui critiquent et dénoncent, des livres qui lèvent le poing, des livres passifs, des livres adorables, des livres qu'in lit sur la plage et d'autres au coin du feu, parce que c'est mieux ainsi. Mais ce sont des livres qu'on adore. Ce sont ces livres-là.

1984, George Orwell ; Mangez-moi, Agnès Desarthe ; Le froid modifie la trajectoire des poissons ; L'évènement, Annie Ernaux ; Bonjour tristesse, Françoise Sagan ; Jeune fille, Anne Wiazemski ; La Mécanique du coeur, Dionysos ; Le Da Vinci Code, Dan Brown ; Le Petit Prince, Antoine de St Exupéry ; La Brigade de l'Oeil, Guillaume Guéraud ; Dix Petits Nègres, Agatha Cristie ; Le Pacte des Marchombres, Pierre Bottero ; Les Enfants du crépuscule, Serge Brussolo ; La Dernière Enigme, Agatha Christie ; La Quête d'Ewilan, Pierre Bottero ; E=MC² mon amour, Patrick Cauvin ; Uglies, Scott Westerfeld ; Quand souffle le vent du Nord ; La Délicatesse, David Foekinos ; Le journal d'Aurore, Marie Desplechin ; Verte ; Qui es-tu Alaska ?, John Greene ; A-Apocalypse, Scott Westerfeld ; Un heureux évènement Eliette Abécassis; L'Ecume des jours, Boris Vian ; Millénium, Stieg Larsson ; Le Cri des Oiseaux Fous, Dany Lafférière ; Le Confident Hélène Grémillon ; Chemin d'école, Daniel Pennac